Dans le cadre de ce cours, nous devions créer une SAÉ qui répondait à un besoin ressenti dans une classe. L'enseignante associée que j'ai rencontré nous a demandé de travailler sur ce qu'elle appelait «l'effet Apple». Cet élément a aussi été mentionné dans le texte de M.Rémi Thibert, l'effet abrutissant d'Internet. Ce que cette enseignante mentionnait allait dans le même sens que ce dernier. Les jeunes utilisent beaucoup les TICs, mais ne savent pas vraiment comment s'en servir. Ils sont habitués d'utiliser des technologies «Apple» où ils n'ont qu'à peser sur un bouton et tout se fait. Ils ne sont pas habitués d'utiliser des fonctions plus avancées, comme dans Word, par exemple. Cela rejoint la pensée de l'auteur. Les jeunes utilisent des technologies où tous est simplifié au maximum pour eux comme avec Apple, Facebook, Twitter, etc. Cela ne les oblige donc pas à réfléchir et à se questionner. C'est pourquoi c'est à nous, en tant qu'enseignante de travailler les technologies avec nos élèves pour leur apprendre comment s'en servir. Par exemple, avec Word, l'enseignante mentionnait que les élèves sont habitués, à cause de l'effet Apple, de n'utiliser que les boutons visibles dans la barre d'outils. Elle leur a donc montré les différentes fonctions utiles que l'on retrouve dans les différents menus. Je pense que nous aurons de plus en plus à faire à ce fameux effet Apple avec les années. Ce sera à nous de le diminuer au maximum. jeudi 7 mars 2013
L'effet Apple
Dans le cadre de ce cours, nous devions créer une SAÉ qui répondait à un besoin ressenti dans une classe. L'enseignante associée que j'ai rencontré nous a demandé de travailler sur ce qu'elle appelait «l'effet Apple». Cet élément a aussi été mentionné dans le texte de M.Rémi Thibert, l'effet abrutissant d'Internet. Ce que cette enseignante mentionnait allait dans le même sens que ce dernier. Les jeunes utilisent beaucoup les TICs, mais ne savent pas vraiment comment s'en servir. Ils sont habitués d'utiliser des technologies «Apple» où ils n'ont qu'à peser sur un bouton et tout se fait. Ils ne sont pas habitués d'utiliser des fonctions plus avancées, comme dans Word, par exemple. Cela rejoint la pensée de l'auteur. Les jeunes utilisent des technologies où tous est simplifié au maximum pour eux comme avec Apple, Facebook, Twitter, etc. Cela ne les oblige donc pas à réfléchir et à se questionner. C'est pourquoi c'est à nous, en tant qu'enseignante de travailler les technologies avec nos élèves pour leur apprendre comment s'en servir. Par exemple, avec Word, l'enseignante mentionnait que les élèves sont habitués, à cause de l'effet Apple, de n'utiliser que les boutons visibles dans la barre d'outils. Elle leur a donc montré les différentes fonctions utiles que l'on retrouve dans les différents menus. Je pense que nous aurons de plus en plus à faire à ce fameux effet Apple avec les années. Ce sera à nous de le diminuer au maximum. 
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Salut Karine!
RépondreSupprimerJ’ai trouvé ton billet très intéressant. Tout comme toi et ton enseignante associée, je crois que les élèves connaissent beaucoup de choses sur les technologies de l’information et de la communication, mais ne savent pas vraiment comment les utiliser… Comme le mentionnait monsieur Thibert dans son texte, la très grande majorité des élèves utilisent les TIC à des fins de divertissement. Je crois qu’il est dans notre devoir de leur enseigner le « comment » de l’outil, car pour eux, ce n’est qu’un jeu.
Pendant mon stage, j’ai eu la chance d’enseigner à mes élèves comment utiliser le logiciel Microsoft Office Word. À ma grande surprise, aucun d’entre eux ne savait appliquer les règles méthodologiques. Cet enseignement a pris la forme d’un projet de trois périodes. Pendant la première, j’ai enseigné les règles de présentation et d’organisation d’un travail écrit, c’est-à-dire la méthodologie; pendant la deuxième j’ai enseigné comment utiliser l’outil en faisant les liens avec la méthodologie, et pendant la troisième, les élèves devaient écrire un texte en utilisant le logiciel de traitement de texte et en respectant les normes méthodologiques.
Pour l’avoir vécu, les élèves étaient très contents d’avoir appris à utiliser cet outil, car ils se sentaient plus compétents à produire un travail de « qualité ». Comme tu le dis, « l’effet Apple » est de plus en plus présent et c’est à nous de le diminuer en enseignant à nos élèves le « comment » de l’outil.
Je tiens à te dire que je suis tout à fait d’accord avec toi, c’est le travail des enseignants d’amener les élèves à connaître et à utiliser les technologies à des fins pédagogiques. Même si aujourd’hui on pense que les jeunes connaissent mieux les nouvelles technologies que leur enseignant, cette image est souvent trompeuse. En effet, les jeunes ne savent utiliser, la plupart du temps, que les technologies à des fins d’amusement et de divertissement. Il est donc essentiel d’enseigner aux élèves les techniques adéquates d’utilisation avant de les laisser travailler avec les technologies.
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